Salut les winners, c’est Maxou ! Dans cet article, nous allons découvrir les 3 questions que vous poseront toutes les femmes avec lesquelles vous aurez des interactions.
Chez Séducation, nous vous apprenons à vous présenter sous votre meilleur jour, et à rencontrer et à vous connecter avec de belles femmes. Des femmes qui vous plaisent vraiment. Nous encourageons nos clients à être aussi naturels que possible. Car parler aux femmes devrait être quelque chose que vous devriez savoir faire naturellement. Cela doit devenir une simple habitude pour vous.
Cependant, il y a quelques questions, trois en particulier, qui semblent apparaitre dans à peu près toutes les interactions. Et plutôt que de simplement répondre à ces questions en un seul mot, il peut être très utile de réfléchir à la préparation de la réponse pour chacune d’elle.
Il y a tellement de choses sur lesquelles vous devez vous concentrer dans une interaction. Mais vous pouvez incorporer tous les éléments principaux dans chaque réponse.
Juste avant, rejoignez la newsletter La Lettre privée des Winners, dans laquelle vous recevrez chaque jour dans votre boite mail un email motivant qui va vous apprendre à séduire comme un beau gosse, rencontrer de belles demoiselles et les emmener dans votre lit naturellement. Dans ces mails, vous découvrirez aussi mes secrets en séduction, en persuasion et en psychologie féminine.
Pour rejoindre la communauté des Winners, cliquez ici.
LES 3 QUESTIONS QUE LES FEMMES POSERONT TOUJOURS DANS UNE CONVERSATION
Mettons fin au suspense. Voici donc les 3 principales questions que les femmes vous poseront :
- Comment tu t’appelles ?
- D’où viens-tu ?
- Que fais-tu dans la vie ?
La plupart des gens répondraient simplement à ces trois questions avec un seul mot en guise de réponse. Puis, ils se demanderaient pourquoi la conversation s’évanouit et prend fin soudainement. La clé d’une bonne conversation, c’est de fournir des informations personnelles sur vous-même.
Autrement dit, vous devez offrir un contenu intéressant que l’autre personne pourra utiliser. Cela lui permettra alors de vous poser des questions en retour pour en savoir plus sur vous, et ainsi de construire une image mentale de votre identité. Voyons plus en détails comment enrichir nos réponses pour ces 3 questions.
QUESTION N°1 : « COMMENT TU T’APPELLES ? »
C’est une question basique, qui fait partie de ce que j’appelle le « Pentagone des questions de base dans une conversation ». C’est-à-dire que lorsque vous démarrez une conversation, en abordant une fille dans la rue par exemple, il y a 5 questions de base que vous devez toujours avoir à l’esprit. Ces 5 questions vous serviront pour faire perdurer la conversation et vous éviterez ainsi des « blancs » au cours de l’interaction, si le manque d’inspiration se fait sentir.
L’une de ces 5 questions de base concerne le prénom : en effet, si vous ne connaissez pas le nom de votre cible (ou de votre future potentielle petite amie), ça va être compliqué. Le fait de connaitre son identité crée du rapprochement parce que vous brisez ainsi le cadre de l’inconnu. Si la fille est un minimum intéressée par vous, elle vous posera la même question en retour, pour connaitre votre prénom, et savoir à qui elle parle.
Au lieu de dire simplement votre prénom, réfléchissez à une réponse qui vous permettra de développer. Parce que si vous lui dites juste votre prénom, que pourra-t-elle répondre ensuite ?
Pour se faire, effectuez des recherches sur Internet pour connaitre l’étymologie de votre prénom, autrement dit, sa signification. Par exemple, pour ma part, Maxime signifie « le plus grand » (issu du latin Maximus). Informez-vous également sur des personnages historiques qui auraient porté votre prénom par le passé. Cela enrichira votre réponse et montrera à la femme en face de vous que vous avez de la culture générale.
QUESTION N°2 : « D’OU VIENS-TU ? »
Là encore, c’est une question qui fait partie du Pentagone des questions clés dans une conversation avec une femme. Quand vous posez cette question, c’est parce que votre interlocutrice a une origine ethnique particulière. Cela se voit notamment si elle a la peau mate ou si elle est eurasienne (d’origine asiatique par exemple).
Cette question est légitime si la fille est étrangère, avec sa prononciation. Sa couleur de peau, sa façon de parler peuvent vous donner des indices sur son origine. Dans ce cas, vous pouvez lui poser la question, à savoir « d’où viens-tu ? ». Ainsi, vous créez du confort pour apprendre à la connaitre davantage.
Néanmoins, même si la fille que vous abordez est d’origine européenne, voire française, n’a aucun accent ou ne vous inspire aucun autre pays que la France, posez la question. En effet, cela peut vous permettre de savoir de quelle région de France elle vient.
Et si vous êtes un vrai winner, si vous voulez vous mettre au défi, ce que j’aime bien faire, c’est de ne pas poser de questions mais d’aller dans la supposition. Essayez de deviner des informations sur elles, rien qu’en la regardant. Adoptez une vision laser qui va scanner la fille, pour partir d’un détail sur elle que vous avez repéré (style vestimentaire, coupe de cheveux) et ainsi en déduire son origine ethnique.
Dès lors, vous avez deux options :
- vous restez logique et rationnel du style : « Tu as de beaux cheveux noirs avec quelques mèches un peu plus claires, t’es un peu bronzée, tu as un sac en cuir blanc qui fait assez italien, je dirais que tu es Italienne » ;
- vous entrez dans l’absurde en lançant une affirmation complètement fausse, ce qui va déclencher inconsciemment une réponse immédiate chez la fille pour rétablir la vérité. Par exemple, si vous abordez une Chinoise, vous lui demandez si elle n’est pas Norvégienne (en rebondissant notamment sur son style vestimentaire). C’est un moyen très puissant de rendre la fille attirée et de lui montrer que vous avez à la fois de l’humour et du sens de la répartie.
De son côté, si la fille vous pose cette même question sur votre origine, c’est par le principe de réciprocité : si vous lui posez la question en premier, elle se sentira obligée inconsciemment de vous poser cette question en retour. Surtout si votre couleur de peau est particulière ou si vous avez un accent notable.
Dans ce cas, que répondre à cette question sur votre origine ? Plutôt que de lui dire en un seul mot d’où vous venez, vous pouvez la mettre au défi. Concrètement, vous l’amenez à deviner votre origine, par exemple en lui donnant 3 chances, 3 essais pour qu’elle puisse trouver votre pays d’origine (ou votre région ou ville, peu importe). Une fois qu’elle l’a trouvée, ou que vous le lui avez révélée, vous développez votre réponse.

QUESTION N°3 : « QUE FAIS-TU DANS LA VIE ? »
Attardons-nous maintenant sur la troisième question : « Tu fais quoi dans la vie ? ». La question sur votre travail professionnel. La plupart de mes abonnés m’expliquent qu’ils n’ont pas d’emploi intéressant, ou alors qu’ils sont tout simplement au chômage. Ils me demandent s’ils doivent mentir pour enjoliver la réalité, afin de les rendre plus attirants aux yeux des femmes. Ils s’interrogent sur la meilleure façon de transformer un travail ennuyeux en travail palpitant et intéressant. La bonne réponse à cette question, c’est ce que j’appelle la « redirection conversationnelle ».
Concrètement, en quoi consiste cette « redirection conversationnelle » ? Vous pouvez simplement vous concentrer sur votre passion, sur ce que vous voulez vraiment faire, au lieu de ce que vous faites actuellement et qui ne vous intéresse pas.
Par exemple, si vous êtes électricien : « Je travaille dans l’électronique… Oui, c’est sympa, ça me permet de payer mes factures. Mais je vais te dire quelle est ma passion. Je m’intéresse vraiment à la psychologie et à la communication. Tu sais, tout ce qui concerne le langage corporel et les gens qui le lisent. »
Remarquez que je reste vague dans la dénomination du métier : je ne dis pas « électricien » car, dans l’imaginaire collectif, cela peut donner une image peu valorisante. Au contraire, je remplace le mot « électricien » par « je travaille dans l’électronique ». Cela reste général, flou, et permet à la fille de s’imaginer ce que vous faites réellement dans votre vie professionnelle. Par exemple, réparer des ordinateurs, geeker, tester des jeux vidéo, réparer des appareils électroménagers, etc. Vous ne mentez pas à la fille sur votre métier, mais vous restez vague et mystérieux.
« Si t’en apprends un peu plus sur le sujet, tu pourras limite lire dans les pensées des gens qui t’entourent. Je m’y suis mis il y a quelques années et j’ai trouvé cela fascinant. Mais là encore, je suis un mec, je dois apprendre ces choses. Toi, t’es une femme, donc tu es déjà une experte en la matière (sourire). Bref, supposons qu’une femme discute avec un homme et qu’elle soit attirée par lui : quels seraient les 3 signes d’intérêt ? »
Ceci est un exemple vous montrant la façon d’orienter la conversation vers des domaines qui vous passionnent et que vous maitrisez. Des sujets de conversation qui vous mettent à l’aise. Dans l’exemple ci-dessus, vous taquinez la fille dans le bon sens et vous la qualifiez même à la fin. Vous dirigez l’interaction, vous gardez le lead (je rappelle que c’est très important) et cela créera de l’attraction chez votre interlocutrice.
TOUJOURS GARDER LE LEAD DE LA CONVERSATION POUR ATTIRER LA FILLE
Nous vous encourageons à développer une réponse à chacune des trois questions. Ensuite, vous verrez vos conversations s’enrichir et vous pourrez littéralement remplir vos réponses avec davantage de contenu intéressant. Du contenu captivant qui vous permettra d’attirer la fille avec laquelle vous interagissez. Pour ainsi dire, faites du storytelling pour transporter votre interlocutrice et la faire rêver : apprenez à maitriser l’art de raconter des histoires pour captiver votre auditoire.
Gardez à l’esprit que la clé pour diriger une conversation, c’est de garder le contrôle de l’interaction. Et cela nécessitera une certaine préparation de votre part. En effet, il faudra pratiquer, s’entrainer. C’est avec l’entrainement et l’expérience que vous réussirez à donner des réponses enrichissantes et intéressantes pour attirer votre interlocutrice.